Mot du citoyen

Affaires Josué Pierre-Louis: Patrick Chrispin s’inscrit en faux contre les allégations de Djovany Michel

Le journaliste Djovany Michel tente de corrompre le secrétaire général de la présidence.

 

Après avoir essuyé un échec dans sa demande d’argent auprès du Secrétaire général de la présidence, Dr Josué Pierre-Louis, directement et aussi par le biais d’intermédiaire, Djovany Michel s’est livré à une tentative de dissimulation de la vérité. Après qu’une mise en demeure lui a été adressée, au lieu de rétablir la vérité comme il se doit, il poursuit au contraire son œuvre de diffamation.

 

 


Étant donné que son action calomnieuse s’accomplit par des écrits publics, dès lors il y a lieu de porter l’affaire par devant les autorités judiciaires afin que Me Pierre-Louis puisse obtenir justice et réparation pour les préjudices subis.

 

 

 

Ces messages infâmes, indignes d’un journaliste, que cet individu fait circuler sur les réseaux sociaux n’ont qu’un objectif : contourner la vérité qu’il sait et que tout le monde commence à savoir suite à la sommation qu’il a reçue.

 

 

 

Cette injonction a révélé la nature de l’affaire et en même temps elle somme le fautif de rétracter ses allégations. Ceux qui connaissent Djovany Michel savent qu’il ment de façon éhontée. Cette fixation morbide qu’il fait sur Josué Pierre-Louis laisse présager qu’il va poursuivre ses mauvaises manœuvres. Pourtant, il est préférable de dire la vérité car le mensonge consomme beaucoup de temps et d’énergie, et comme dit l’autre, « mentir n’a pas de vie ».

 

 

 

Alors qu’il s’est donné l’étiquette de « journaliste anti-corruption », Michel a pourtant tenté de corrompre Me Josué Pierre-Louis pour obtenir des avantages matériels. N’ayant pas atteint son but, il a décidé de discréditer ce haut fonctionnaire dont la carrière dans l’administration publique haïtienne est marquée par un savoir-faire reconnu par ses pairs, ses compétences n’ayant jamais fait l’ombre d’un doute.

 

 

 

Le recours devant le juge est la seule et unique voie pour se défendre contre la diffamation et la calomnie. Obliger les fautifs à réparer les torts qu’elles causent à la réputation d’honnêtes citoyens est la manifestation de ce que doit être le fonctionnement de l’État de droit dans notre société. C’est la voie à suivre pour mettre fin aux actions malhonnêtes dont sont souvent victimes certaines personnalités de la part de maîtres-chanteurs agissant par jalousie ou par appât du gain.

 

 

 

Ce genre de délits ne doivent plus passer comme une lettre à la poste : ils doivent être sanctionnés. La liberté d’expression ne doit pas être confondue avec le mensonge, la perfidie, l’infamie et le dénigrement.

 

 

 

Dr Jean Willio Patrick Chrispin,

16 octobre 2022.

Related Posts

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *